C'est cette Amérique-là que j'aime, cette Amérique de souffrance, cette Amérique rurale, poussiéreuse, agricole, loin des clichés, des images d'Épinal et des côtes.
Et c'est ce cinéma que j'aime, poétique, délicat, surtout lorsqu'il nous donne à voir nos bassesses.
1978, Terrence Malick signe son second long, et attend 20 ans avant de nous offrir son 3ème.
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